Face à des méthodes d’enseignements vieillissantes, les instituts de formation doivent se renouveler tout en créant de la valeur. Bonjour World l’a bien compris. Depuis un an, la société développe des outils numériques innovants pour accroitre l’engagement et la motivation de ses apprenants.

Thomas Flauraud, Directeur Général de Bonjour World, nous explique pourquoi et comment il a digitalisé son offre de formation.

QU’EST-CE QUE LE DIGITAL LEARNING ?

Le digital learning englobe tout type d’outils numériques dans le domaine de la formation, de la vidéo aux classes virtuelles, en passant par les applis mobiles. Tandis que le e-learning ne comprend que les vidéos.

« Le digital learning dépoussière l’image que l’on se fait de l’apprentissage des langues en amenant un côté ludique »

Digitaliser son offre de formation permet de favoriser l’apprentissage d’un enseignement de manière efficace et ludique. Le digital learning permet d’apporter de l’interactivité au sein d’une formation afin d’accroitre la motivation des apprenants. Il peut être combiné avec différentes approches pédagogiques comme le présentiel, à distance ou sur le lieu de travail. Le challenge est de trouver le bon format pour le bon utilisateur.

Parmi ces outils numériques, Bonjour World a notamment développé des cours qui intègre la réalité virtuelle ou encore la réalité augmentée pour faire vivre une expérience originale à ses apprenants et accroitre leurs motivations. Thomas F. nous explique pourquoi et comment il a mis ces dispositifs en place.

LES AVANTAGES DU DIGITAL LEARNING

Digitaliser son offre de formation offre de nombreux avantages dont celui du prix. Il permet à une entreprise de baisser ses coûts tout en offrant une approche pédagogique différenciante.

Les outils numériques sont également mis à jour régulièrement permettant une interaction évolutive. L’apprenant s’organise comme il le souhaite et peut travailler n’importe où et n’importe quand.

QUELLE EST LA PLACE DE L’HUMAIN DANS CES NOUVEAUX DISPOSITIFS ?

« la colonne vertébrale chez nous c’est l’homme mais l’extension de cette colonne vertébrale c’est le digital learning »

Bien que le digital learning ouvre de nouvelle perspective aux instituts de formation, Thomas F. souligne l’importance de l’humain dans la réussite des apprenants.

Pour réussir sa transformation numérique ces outils ne peuvent pas se substituer à l’échange humain, il est essentiel de coupler différentes formes d’apprentissage, présentiel, cours collectifs avec des outils numériques pour offrir la meilleure expérience d’apprentissage possible.

Retrouvez l’intégralité de notre interview avec Thomas F. dans votre espace abonné Digital Student Challenge, rubrique Case Studies d’un challenge.

Attention : il faut être inscrit à un challenge pour visualiser le Case Study. 

Sources :
BonjourWorld.fr
https://www.elearning-news.fr/2017/04/18/digital-learning-les-10-grandes-tendances-pour-la-formation-de-demain/
https://www.exclusiverh.com/articles/digital-learning/quel-est-le-cout-du-digital-learning.htm
https://www.formation-professionnelle.fr/2020/01/06/humain-au-coeur-de-la-formation/
https://dlmnews.com/index.php/03/le-metier/difference-entre-e-learning-et-digital-learning/
http://www.solunea.fr/digital-learning-evolution-formation/

Le prochain case study que vous allez pouvoir découvrir sur la plateforme Digital Startup Challenge concerne l’entreprise Naïo Technologies. Une entreprise dédiée à l’innovation agricole qui a utilisé le reward crowdfunding afin de lancer puis de développer son activité.

Naïo Technologies : inventer l’agriculture de demain

Naïo Technologies est spécialisé dans les robots agricoles et le guidage autonome. Les robots sont conçus pour désherber, assister les agriculteurs au quotidien en réalisant des tâches chronophages. L’idée ? Démocratiser l’utilisation des nouvelles technologies pour l’ensemble des acteurs du monde agricole. Cela afin de permettre une agriculture plus productive mais aussi plus respectueuse de l’environnement.

Dans le case study dédié à Naïo Technologies, découvrez l’interview d’Aymeric Barthes, Président de la société qui nous explique de quelle façon le reward crowdfunding a pu aider le développement de son activité.

Le reward crowdfunding pour rendre des projets concrets aux yeux des internautes

Naïo Technologies a utilisé dès ses débuts le reward crowdfunding. Pourquoi ? Tout simplement car l’entreprise était à la recherche d’argent pour financer les prototypes de ses robots agricoles. Toutefois, le capital manquait dans l’entreprise.

Grâce à des subventions obtenues auprès de la région, puis grâce aux plateformes de reward crowdfunding, Naïo Technologies a pu constituer une cagnotte en ligne qui lui a ensuite permis de financer le développement de ses premiers robots.

Fin 2012, début 2013, Naïo Technologies s’est lancé dans le reward crowdfunding avec l’utilisation de la plateforme dédiée « Ulule ». Naïo a d’ailleurs été un des premiers projets mis en ligne sur la plateforme à l’époque.

Réussir une campagne de reward crowdfunding : l’importance de la communication

Afin de réaliser une campagne réussie de reward crowdfunding, Aymeric Barthes nous explique qu’il s’agit de bien expliquer ce à quoi va « servir » l’argent. En effet, l’idée est de proposer au plus grand nombre de participer au financement d’un projet dans lequel ils croient. Ainsi, une telle campagne demandant aux individus de financer des projets doit s’appuyer sur un plan de communication robuste en expliquant simplement et concrètement ce qui va être financer.

La communication autour d’une telle campagne commence toujours auprès du cercle familial et des amis. Ensuite il s’agit de toucher un réseau indirect. En d’autres termes, les premiers contacts (famille, amis) doivent être capables d’expliquer qu’il y a un vrai intérêt à participer à cette campagne aux personnes autour d’eux. Enfin, troisième cercle qu’il s’agit de réussir à capter : les personnes que l’on ne connait pas. Ces personnes doivent être captées grâce à la communication sur les réseaux sociaux, blogs, actualités en ligne, etc.

Naïo Technologie : une vraie stratégie réussie de reward crowdfunding

Grâce au reward crowfunding, Naïo Technologies a su se développer. Cette campagne a été une véritable source d’inspiration pour l’avancement de l’entreprise. Les fondateurs, les salariés, l’ensemble des personnes de l’entreprise sont impliqués dans la construction des robots mais aussi dans la réussite d’une telle campagne en partageant autour d’eux les informations la concernant.
L’entreprise Naïo Technologies a su rendre son activité concrète auprès du grand public. Voilà pourquoi le reward crowdfunding a si bien fonctionné ici !

Découvrez le case study complet concernant la campagne de reward crowdfunding menée par Naïo Technologies sur notre plateforme Digital Startup Challenge !

Découvrons ensemble le prochain case study bientôt disponible sur la plateforme Digital Startup Challenge ! Nancy Rodriguez a recueilli l’interview d’Antoine Seillles, Président Directeur Général de NaturalPad.

NaturalPad : R&D et conception participative

Le point de départ de la création de NaturalPad c’est le détournement de l’usage de la Wii dans des centres de soin et de rééducation dans des Ephad, hôpitaux. Le constat a été par exemple fait au CHU de Montpellier. Le CHU avait mis en place un système de rééducation post AVC. Or, il existe d’autres solutions meilleures pour faire de la capture de mouvement et optimiser le processus de rééducation par le jeu.

« Nous sommes partis de ce constat : il est possible de faire du jeu avec une démarche médicale » explique Antoine Seilles.

NaturalPad est maintenant une équipe de 5 personnes. Elle développe des jeux vidéo basés sur le mouvement pour faire faire de l’activité physique en prévention ou en rééducation à tous les types de patients.

Avec une démarche de conception participative auprès des soignants et de validation par des preuves cliniques de l’efficacité des jeux, NaturalPad innove dans le secteur de la santé !

L’enjeu de la réalité virtuelle dans la santé

La réalité virtuelle concerne le fait de simuler un monde par ordinateur et de permettre aux personnes de suivre cette simulation. Il est possible d’expérimenter un grand nombre de choses dans un monde virtuel. En santé, cela fait plusieurs années que sont expérimentées les technologies de la réalité virtuelle et les techniques de jeu vidéo pour rendre la thérapie plus amusante. NaturalPad utilise ces technologies pour créer une expérience immersive permettant aux patients de réaliser sa rééducation dans un environnement ludique.

NaturalPad et le physio-gaming

Le physio-gaming c’est le terme utilisé pour parler des jeux vidéo basés sur le mouvement. En d’autres termes, cela concerne donc la rééducation par le mouvement.
Par nature, la rééducation est basée sur la répétition de mouvements. Dans une séance de rééducation il s’agit de répéter un grand nombre de fois le même mouvement. C’est assez barbant et fatiguant pour la personne de refaire les mêmes séances et les mêmes mouvements très souvent. En utilisant le jeu, NaturalPad crée un levier motivationnel. En effet, par le jeu, cela permet l’amélioration d’un score, le dépassement des résultats précédents. Il y a un côté challenge qui fait que les personnes ont plus envie de jouer que de faire l’exercice.

La stratégie de croissance de NaturelPad

Puisque NaturalPad a pour vocation de déployer des jeux vidéo pour la médecine, la preuve et l’efficacité médicale sont nécessaires. Cela va d’ailleurs de pair avec la satisfaction des utilisateurs / patients.
Dans certains établissements, NaturalPad est utilisé par plus de 200 patients lors de séances de 30 minutes. Ces établissements utilisent la solution comme un vrai outil de rééducation.
Jusqu’à présent, NaturalPad a fonctionné sur des financements propres, des subventions de l’Etat concernant des projets de recherche, des partenariats avec l’université. L’entreprise a même réalisé des levées de fond a ses débuts. Aujourd’hui, ce qui permet à NaturalPad de fonctionner ce sont les abonnements des clients aux outils. Cela permet ensuite de financer les innovations.
Ainsi, dans les prochaines années, NaturalPad souhaite appuyer sa commercialisation et aller à l’international. Affaire à suivre !

Découvrez le case study NaturalPad sur la plateforme en open-innovation Digital Startup Challenge !

Découvrez bientôt sur la plateforme Digital Startup Challenge le case study Waste is More ! La problématique est environnementale et sociétale. Elle concerne la revalorisation des déchets grâce à l’innovation.

Dans cette étude de cas, les co-fondateurs de la société prennent la parole et nous expliquent de quelle façon ils ont pu mettre en place une stratégie de communication digitale. Arnaud Maes a recueilli les interviews de :

  • Mathieu Collos, Co-fondateur de Waste is more
  • Cyril Rheims, Co-fondateur de Waste is more

La naissance de Waste is More avec le projet Clip It

A la base, le projet « Clip It » permet un assemblage de bouchons de bouteilles d’eau avec une pince en plastique recyclé. Il est alors possible de créer des formes avec des bouchons en plastique.

Le jeu a pu être testé dans une trentaine de pays auprès de plus de 1000 contributeurs. Cela a permis d’évaluer le marché et d’être financé pour commencer à produire ensuite à plus grande échelle.

Un réel engouement autour de Clip It est né, ce qui a permis la création de la société Waste is More en 2016. D’autres projets sur la revalorisation des déchets ont ensuite suivi et une levée de fonds a pu être réalisée par l’entreprise.

Développement commercial de Clip It

Clip It est un jeu de construction né lors d’un concours de design organisé par la commission européenne au développement durable. Ce concours remporté par Clip It a été l’élément déclencheur de cette belle aventure !

Par la suite, il y a eu un véritable engouement pour ce jeu des enseignants et des élèves. Ce qui a permis de commencer avec une campagne de crowdfunding afin de réaliser une première production du jeu.

A l’heure actuelle, les 3 axes principaux pour le développement de Clip it sont :

  • Le grand public avec la vente des pinces recyclées dans les grands magasins.
  • L’éducation car Clip it est un outil ludo-pédagogique (transmission d’un message).
  • Le B2B : des boites co-brandées, des goodies durables, des animations. Les partenariats avec les grands groupes (notamment les producteurs de bouchons, eau, etc..) permettent une grande visibilité pour Clip it, et la revalorisation des déchets des entreprises partenaires. Dernier partenariat en date ? Intermarché lors d’une opération promotionnelle sur la réduction des déchets qui sera lancée à Novembre 2019.

Waste is More comme un laboratoire d’idées à forte dimension environnementale et sociétale

Waste is More, à travers le développement de ses nombreux projets, souhaite sensibiliser le grand public aux enjeux environnementaux. Avec Clip It, l’idée est d’inciter les enfants à collecter des bouchons plastiques pour jouer avec. Lorsqu’ils se lassent du jeu, Clip It les encourage à en faire don à l’association « Bouchons D’Amour », afin de financer du matériel pour personnes à mobilité réduite. Par la suite, Clip It rachète les bouchons à cette même association pour les transformer en clips. Une véritable économie circulaire et solidaire !

Le projet “Tri Riders”

D’autres initiatives sont à l’origine de Waste is More. Par exemple, « Tri Riders » : un service de mobilité gratuit contre un geste éco citoyen.

« Nous incitons les vacanciers à faire un geste très simple : ramasser quelques déchets sur les abords des plages de Carnon. En échange nous leur offrons un transport gratuit dans un véhicule 100% éléctrique au sein de la commune. Les déchets collectés sont ainsi triés dans les bacs au dos de la voiture. L’opération pilote réalisée sur les mois de Juillet et Aout 2018 a permis de collecter et trier + de 3600 L de déchets. En plus de notre objectif de sensibilisation, nous avons un impact réel sur l’environnement. Nos conducteurs sont formés pour sensibiliser les usagers aux bons gestes de tri. Le temps de trajet permet donc aussi de créer du lien social autour de la thématique environnementale ».

Waste is More est aussi à l’origine de créations artistiques réalisées avec des déchets (surcyclage). La dernière en date a été réalisée lors du Festival des Architectures Vives de Montpellier grâce à des bidons d’eau stérile utilisés dans les hôpitaux mais aujourd’hui non revalorisés. 30 bidons par jour et par bloc opératoire partent à l’enfouissement sans être triés et revalorisés ! Face à ce constat, Waste is More a voulu sensibiliser la population en créant à partir de ces déchets une œuvre sublimée. L’œuvre représente une vague, une vague de déchets.

Waste is More est devenu un laboratoire d’idées avec une ligne directrice : La revalorisation des déchets par le Design et l’Innovation.

La communication digitale de Waste is More

Waste is More souhaite avoir une présence forte sur les réseaux sociaux et développer sa communauté. Pour cela, la société a bénéficié du programme « Cap Croissance » du BIC de Montpellier. Il a permis à Waste is More d’être accompagné dans le développement de sa communication digitale : comment référencer le site ? comment toucher une population cible avec des messages adéquats ?

Waste is More souhaite booster sa stratégie de communication en ligne car elle est incontournable pour son produit phare : « Clip It ». Pour cela, la société désire développer sa stratégie en partenariat avec des blogueurs et des influenceurs dans le secteur de l’éducation.

Un beau projet à découvrir dans le case study bientôt disponible sur la plateforme Digital Startup Challenge !

Aujourd’hui, nous vous proposons de découvrir une application permettant de dynamiser les visites de villes, lieux culturels, sentiers botaniques, etc grâce à des chasses au trésor numérique !

Dans ce Case Study réalisé par Arnaud Maes pour Digital Startup Challenge, découvrez les interviews de :

  • Charles Moszkowicz, co-fondateur et directeur d’Enéo (société qui développe l’application Explorama
  • Maxime Trouiller, Responsable marketing et commercial à Enéo

Fonctionnement de l’application Explorama

A l’heure actuelle, certains prennent conscience de l’importance et de la valeur de l’environnement. Or nous avons de moins en moins de temps pour l’observer et pour le protéger. C’est de ce constat qu’est né Explorama. Cette application développée par Enéo met en valeur le patrimoine local à travers la gamification. Elle permet d’accéder à une activité ludique pour découvrir l’environnement.

Eco tourisme, sites touristiques, villes, domaines viticoles, campings… Chaque acteur peut ajouter ses propres contenus dans le jeu Explorama qui propose une expérience utilisateur innovante. Les utilisateurs vont garder un meilleur souvenir des lieux qu’ils visitent grâce à cette application.

Une chasse au trésor numérique

A tous ceux qui sont curieux de la nature et de l’environnement… Explorama permet de découvrir la biodiversité, l’architecture, etc., mais aussi d’ajouter une expérience ludique au parcours grâce à la mise en place de missions. L’utilisateur, à travers la découverte de l’environnement devient un véritable explorateur.

Ainsi, pour la ville de Clapiers, qui utilise Explorama pour son sentier découverte, c’est une façon de moderniser les infrastructures qu’elle a d’ores et déjà mises en place. C’est une nouvelle façon de découvrir le patrimoine.

En ce sens, les utilisateurs peuvent trouver les défis géolocalisés sur la biodiversité et le patrimoine, et s’amuser en famille ou entre amis en répondant à aux différents quizz de l’application Explorama.

 

La stratégie marketing et commerciale d’Explorama

Accompagné par le BIC de Montpellier depuis 2 ans, par l’incubateur Green Tech du Ministère de l’Environnement et par l’Open Tourisme Lab, un accélérateur dans le tourisme, Explorama développe avec brio sa stratégie marketing et commerciale.

Les early adopters sont déjà nombreux à utiliser l’application de chasse au trésor. Les prochaines étapes consistent ensuite à industrialiser tous les process et à trouver de nouveaux marchés. Deux cibles sont à atteindre. En effet, Explorama est avant tout une plateforme à destination des professionnels (B2B) qui souhaitent proposer une expérience inoubliable. Mais aussi une application mobile à destination du grand public.

Explorama met ainsi en place une stratégie commerciale bien pensée : prospection, social selling, stratégie de content marketing sur le site Internet, marketing automation, etc.

Le marketing automation consiste à utiliser un logiciel qui permet d’automatiser les tâches qu’une personne pourrait faire en marketing en termes d’amélioration et d’analyse du parcours client. En fonction de cette analyse des comportements sur le site, il est possible ensuite de réaliser de la segmentation et d’envoyer du contenu adapté en fonction des informations de visite obtenues. L’idée ? Affiner au mieux la prospection pour une meilleure rentabilité !

Autant d’actions à découvrir dans le case study bientôt disponible sur la plateforme Digital Startup Challenge !

Nous vous proposons de découvrir en avant première la problématique du prochain case study bientôt en ligne sur la plateforme Digital Startup Challenge ! Ce case study est l’occasion de comprendre la Foodchain et surtout pourquoi Carrefour y adhère.  Cette étude de cas traite donc de la blockchain et de la traçabilité alimentaire en prenant l’exemple d’IBM Food Trust.

IBM et ses innovations technologiques sur la Foodchain

Afin de tracer les produits alimentaires, un QR code est placé sur les emballages. Autre innovation technologique sur laquelle planche Carrefour : la blockchain – ce système
de stockage et de transmission des données – pour garantir la traçabilité des produits.

Plus spécifiquement, la blockchain est une technologie de stockage et de transmission numérique d’informations sécurisées et infalsifiables. Elle constitue une base de données qui contient l’historique de tous les échanges effectués entre ses utilisateurs (producteurs, transformateurs et distributeurs) depuis sa création. Appliquée au secteur alimentaire, la blockchain permet de
stocker les informations relatives au produit : sa provenance, son mode de production, etc. Elle garantit aux consommateurs une transparence complète sur le circuit suivi par les produits.

IBM accompagne Carrefour dans son projet de traçabilité alimentaire

Dans ce case study vous pourrez découvrir de quelle façon IBM accompagne la mise en place de la traçabilité alimentaire chez Carrefour grâce à l’interview de :

  • Philippe Sajhau, Vice Président IBM France Enterprise Sales Unit Leader : Energy-Utilities, Telco-Media & Cities market
  • Odile Perraudin-Juillard, Senior Managing Consultant – Blockchain & Innovation
  • Ombeline Michel, Senior Blockchain Consultant chez IBM

Le projet est né d’une discussion avec Wallmart sur la traçabilité alimentaire. Lorsque l’on a un produit distribué en magasin, on veut savoir d’où vient le produit. Pour cela il faut en moyenne une semaine pour remonter la chaîne et connaitre l’origine de celui-ci. Avec le système de blockchain, 2 secondes vont suffire pour avoir l’information. Une plateforme créée par IBM permet cela. C’est ensuite Carrefour qui a lancé son projet Act for food dans lequel il a souhaité intégrer la blockchain.

Un exemple concret ? Carrefour et Nestlé ont travaillé main dans la main afin de procurer plus de transparence sur les produits alimentaire et ont commencé avec la purée Mousline. En scannant le QR code sur l’emballage, le client obtient une grande quantité d’informations : où sont cultivées les pommes de terre, dans quelles usines les légumes sont transformés, dans quel entrepôt a été stockée la purée, etc.

Carrefour a déjà expérimenté cette technologie sur huit articles de ses filières qualité (lait, poulet, citron, œufs, etc.). « Plus de 300 produits seront concernés avant 2022 », promet Emmanuel Delerm, directeur du programme blockchain.

L’intérêt de la Foodchain pour le consommateur

Finalement, le consommateur a tout à y gagner. Il est rassuré sur la qualité des produits. Et pour le producteur ? Il peut ainsi montrer, par exemple, que ses vaches mangent bien comme promis six mois par an l’herbe des pâturages.

Découvrez en exclusivité la mise en place du projet Carrefour sur la foodchain grâce aux interviews des différents parties prenantes de ce projet sur la plateforme Digital Startup Challenge !

Dans ce case study, découvrez deux interviews :

  • Philippe Sajhau, Vice Président IBM France Enterprise Sales Unit Leader : Energy-Utilities, Telco-Media & Cities market
  • Severine Marquay, Directrice Expérience Intelligence Artificielle Assistance et Innovation ORANGE

IBM accompagne ses clients dans la digitalisation avec sa solution d’Intelligence Artificielle

Dans cette étude de cas, vous découvrirez comment a été mis en place un chatbot chez Orange dans le secteur BtoB. L’objectif du projet au départ était de favoriser l’adoption du digital sur une cible plutôt PME, et de les accompagner de façon la plus naturelle possible. L’Intelligence Artificielle est une bonne solution pour cela.

La méthode mise en place par IBM et Orange a été plutôt une approche “test and learn”. En d’autres termes l’approche était basée sur de l’agilité et une petite équipe en interne de non spécialistes de l’IA mais avec une très forte connaissance des SI, d’Orange et de leurs clients.

Orange s’est en premier focalisée sur un cas d’usage, un point de friction en particulier pour les clients de l’entreprise : l’assistance. Comment digitaliser cette interaction de la façon la plus efficace possible ? Le chatbot a alors été mis en place grâce à la solution IBM Watson, robuste et évolutive

Depuis son lancement ce projet de chatbot connait un véritable succès et permet de gérer 85% des cas d’assistance mobile. L’idée pour la suite du côté d’Orange et d’étendre le projet à d’autres cibles, de plus grandes entreprises mais aussi à d’autres besoins.

Un Case Study concernant la mise en place d’un projet d’Intelligence Artificielle à découvrir bientôt sur notre plateforme en open-innovation Digital Startup Challenge !

Cette semaine, nous vous proposons de découvrir notre Case Study concernant les vignobles Bonfils. PME traditionnelle, Bonfils Wines s’est lancée dans le digital. Elle développe depuis quelques temps déjà une stratégie de marketing d’influence grâce à Instagram. Découvrez en avant première les images du tournage de cette étude de cas bientôt disponible sur la plateforme Digital Startup Challenge !

Les Vignobles Bonfils et la digitalisation du secteur viticole

Famille de Vignerons depuis 1870, avec 17 propriétés viticoles, soit plus de 1800 hectares de vignes, Bonfils Wines est une maison familiale et indépendante créatrice de vins.

A l’heure des changements liés au web et du développement du secteur agroalimentaire en ligne, comment l’entreprise Bonfils Wines digitalise-t-elle sa communication ? Pourquoi a t-elle fait le choix de développer sa présence en ligne ? Pourquoi une stratégie de marketing d’influence a-t-elle été mise en place ? De quelle façon cela a-t-il été bénéfique à l’activité viticole Bonfils ? Enfin, existe-t-il des spécificités liées au secteur d’activité ?

Dans ce case study, découvrez la mise en place d’une stratégie d’influence sur une nouvelle cible BtoC dans le secteur agroalimentaire.

La mise en place d’une stratégie de marketing d’influence chez Bonfils Wines

Mme Agathe Bonfils, responsable marketing du groupe Bonfils Wines présente les grandes orientations de la stratégie digitale du groupe. Elle présente également les éléments de constat qui ont fait que Bonfils Wines, maison familiale, se lance dans l’optimisation de sa présence en ligne. A travers une présence sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Instagram, Linked In), le groupe a su prendre le tournant du digital. Les objectifs et les résultats obtenus ainsi que les éléments de mise en œuvre opérationnelle sont exposés par Madame Agathe Bonfils.

Mme Mélanie Ceysson, responsable communication du groupe Bonfils Wines présente un focus sur la stratégie de marketing d’influence mise en place par le groupe. Pourquoi le groupe Bonfils a t-il choisi de se lancer dans stratégie de marketing d’influence. Quels ont été les éléments qui ont déclenché ce choix stratégique ? Les avantages et les inconvénients d’une telle stratégie sont également présentés, ainsi que les objectifs stratégiques et les performances attendues.

Finalement, dans ce Case Study, le micro-influenceur « Vignoble Occitanie » présente son activité et le marketing d’influence. Qu’est-ce qui en fait un outil marketing aussi puissant ? Vignoble Occitanie expose également le partenariat mise en place avec la marque Bonfils ainsi que sa mise en œuvre opérationnelle (quels outils ? quel contenu ? quelle fréquence de publication ?). Découvrez les objectifs, le type de contrat, les performances attendues dans la mise en place de cette stratégie de marketing d’influence avec le groupe Bonfils Wines !

Un Case Study à découvrir bientôt sur notre plateforme en open-innovation Digital Startup Challenge !